Management et Relations Humaines

Super Manager !

Le management d’autrefois fonctionne aujourd’hui avec la préoccupation évolutive du bien être des femmes et des hommes au sein de l’entreprise.

 

Hors des contraintes techniques et administratives, le management a compris, comprend que, avant tout, c’est l’esprit d’équipe et l’empowerment qui sont mis en avant.

Loin sans faut, il ne faut pas désespérer de voir un nouveau management renaître à un management par lequel les individus se sentent intégrés, soudés et participatifs au sein d’une équipe.

Comment faire pour orienter ses équipes vers une structure « auto-dirigeante » ?

Le manager est devenu le personnage incontournable, fiable, voire irréprochable. Il est essentiel pour lui de se coiffer de la casquette du « manager-confiant ».

En d’autres termes, c’est la force tranquille qu’il acquiert, par l’expérience d’une part, et par sa forte présence personnelle, d’autre part. Appelons-le leader charismatique ou manager confirmé, qu’il en soit ainsi, son attitude va démarquer et guider son équipe vers des sommets humains, peut-être jamais atteints.

 

Ecoutons bien ce que disent les équipes. Elles sont en recherche de ce leader qui leur donne, quoi ?

Une seule réponse me vient à l’esprit : l’énergie.

Cette énergie qui englobe tout tels que le courage, l’envie, la valorisation, l’écoute, l’empathie, la sublimation, la reconnaissance, la récompense, l’appréciation, la singularité, la détermination, le droit à l’erreur et le droit de recommencer, la joie et la paix, la responsabilité sans la culpabilité.

Pour cela, avons-nous compris que le manager doit avoir une sacrée dose de confiance en soi. Il est important de comprendre que son savoir-faire n’est pas tout ce qu’il doit être. Dans ce contexte, il assoit la place de l’être humain et non le faire humain.

Sa responsabilité engage le fait de rendre ses équipes « heureuses ». Il s’engage à innover et à créer de nouvelles méthodes, hors des sentiers connus, vers de nouvelles structures d’équipe, en prenant en compte la gestion des égos.

Sans doute que la compétition et la rivalité restent encore d’actualité dans un contexte économique fort. Force est de constater que celles-ci s’essoufflent parce que l’être humain s’essouffle à tenir à bout de bras un système économique qui ne fonctionne plus.

Pour s’oxygéner, il est en droit ou plutôt il sera dans l’obligation de trouver des alternatives constructives qui ne lui permettent plus de faire perdurer des stratégies en crise mais de créer un ou des modèles permettant la connexion à l’esprit de l’être humain.

L’intelligence humaine ne peut que se tourner vers un cœur nouveau, un appel vers de nouvelles émotions plus respectables et soucieuses des éco-partages.

Il est probable, qu’à l’avenir, le management se rapproche d’un éco-système écologique par lequel les femmes et les hommes réapprennent la non-séparation avec l’être profond qu’il a toujours été, qu’ils soient en entreprise ou pas.

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